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zkr - freestyle 18 minutes كلمات الأغنية

[exclu _ intro (freestyle 5min) “caméléon”] 0:03
[intro]
dix_huit minutes, quand même
c’est zkr, faudra s’y faire, gros
là, j’te parle d’celui d’la gav, nan pas d’celui du banc d’touche
bellek track
“dans les mains”, ça m’suffisait pas, j’vais remettre une bonne couche

[couplet unique]
et m’regarde pas comme si j’te devais des sous
tu m’as déçu, mais attends, moi aussi j’t’ai déçu
j’dois faire des gros sacs d’écus pour me casser d’ici
j’vis_ser des toxicos, mais j’sens comme si mon ad’ est bizi
j’sors du chtar, qu’est_ce qui s’passe ? j’signe un contrat d’baisé
le coeur noir, les vêtеments assortis, la rue m’trouve bg
et c’fils dе pute d’opj, j’ris à sa gueule comme giu’ pecci
et j’les refais même quand j’les ai, t’façon ça lave les péchés
j’ai hassanate à empocher, mais j’suis concentré sur futilités, en plus de ça, qui n’ont aucune utilité
espèce de p’tit fragile, c’est toi qui parles d’hostilité ?
c’tte année, faut qu’t’oublies marrakech, tu passeras à l’hosto’, l’été
on f_ck la notoriété, comme on f_ck l’autorité
j’t’en prie, tu peux vérifier si, c’que j’dis, c’est la vérité
j’fume des clopes comme verratti, tu veux que j’lève mon verre à qui ?
faut pas lui dire quand c’est un vrai, sinon ça d’vient un harki
et j’embarquais, à force de v’_esqui les balles
c’est plus d’la drogue, même l’illégal, on fait comme si c’tait légal
et d’mande à gougoul c’qu’on peut faire à ces gogols
mentalité d’requin vicieux, c’pour ça qu’j’m’habille en popaul
j’ai l’bracelet, j’dis à puma que j’peux pas aller jusqu’à stockholm
j’viens d’lui niquer sa mère, j’en rallume un, j’redeviens tout calme
t’es pas conne, mais tout comme…, t’as d’l’adn sur tout le corps
j’crois qu’les meufs, c’est comme les rumeurs, c’est tellement rare que tout colle
bah ouais, c’est nous les boucards, quand on vient, on fout l’boucan
y a des traficants, des voleurs piquants, et même des roquants
cours si y a les keufs dans les alentours
on s’est vite dépucelé, à ce qui p’, la branlette ça rend sourd
la gloire et sa rançon, faut pas mordre à l’hameçon
la rue m’colle à la peau, vis_ser l’album dans un pack son
tu vois qu’le bon côté des choses, mais bon y a pas qu’ça
plus j’te supporte, plus tu m’déçois, t’es toujours comme le barça
ça y est, j’ai trouvé le vrai bonheur dans un berceau
le temps que les concerts reprennent, j’crois y a moyen d’remplir bercy
mon public, merci, grâce à vous, j’sors du merdier
ta vue vaut pas cher, y a pas d’enchères, on est pas chez l’mercier
elle veut v’nir à pied, ou débouler sur une r6
laisse pas traîner ton fric, ici, ça s’bat pour une a3chi
nhel sheitan, wesh, c’est trop comment tu persistes
j’suis connu partout, mais j’arrive pas à m’dire qu’j’ai percé
mon coeur, un dix_eu’, j’essaie d’recoller les parcelles
quand monte un [car sierre?], j’te jure, y a plus grand monde qui t’harcèle
dehors, j’ai du poids à porter, j’travaille les torsos, mais y a aussi des portes à péter, donc j’écris des morceaux
le filtre m’remplit d’morve, eux, équipe de morveux
la rue c’est pas un jeu, y en a peu qui sont morts vieux
eux, ils nous croyaient hors_jeu, j’l’ai vu dans leurs yeux
ouais, c’est la haine qui prend d’la graine quand l’amitié s’écorche
t’as pas l’bras long, t’as la gorge profonde
est_ce que ça finira en romance criminelle si nos deux âmes se confondent ?
maintenant, tout l’monde veut m’faire des offrandes, mais j’voyais aucun d’ces opportunistes quand j’allais au front (quand j’allais au front)
du coup j’les prends pas, tremble pas, j’arrive à grands pas
tellement d’écart entre nous, j’leur mets des p’tits ponts, des grands ponts
sur les épaules de la ville, de l’alma, jusqu’aux trois_ponts
rancunier comme un junkie, le goût de la vengeance est trop bon
sucré comme un bonbon, combustible comme un charbon
les mains, la te_tê carbo’, on peut t’soulver comme darbo_
_dépannage, j’récup’ la rime, même en décalage
t’es un vrai (bon) si t’as mon cd, même si tu l’voles à l’étalage
une bastos qui t’allonge, une prière qui t’allège
le truc, c’est qu’tu peux t’mettre vite à perte, quand tu t’es mis vite à l’aise
ouais, j’ai la plume balaise, alors qu’j’suis touquaise
tu parles de la rue, mais fermes ta gueule, t’es bon qu’à faire l’ouvreuse
tu veux creuser ou j’creuse ? t’as pas d’personnalité
franchement, avec tout ce buzz, tu crois qu’personne n’a l’idée d’vouloir me faire ?
j’entends des bruits d’couloirs, putain, les frères, faudra r’mettre les habits tout noirs
fierté du nord, bah ouais, j’te nargue connard
j’suis fin comme un film, mais j’ai l’appétit d’un gros lard
toucher l’gros lot, en profiter, pas être solo, car, ici, les gros poissons finissent la tête sous l’eau
saoulé, coulé, j’prépare du sale à ces salauds
un roulé_boulé et on fait disparaître tes ballots
c’est balaud, des barres leur suffit pas lourd, mets leurs principes sur leurs balances, tu verras qu’ça pèse pas lourd
ici, y a que des poids lourds, donc on leur donne même pas l’heure, comme aux crasseuses en chaleur
papa m’a transmis trop d’valeurs, du coup j’suis pas un chialeur
et j’dois en faire autant, mois j’ai pas poireauté
nous saboter ? impossible, comme un coca qui fait pas roter
ils connaissent nos traits d’caractère, jusqu’à rotter’
c’est pas pour rien qu’les roubaisiens ont une réput’ de carotteurs
et ça fait “bla_bla_bla”, en face t’es inoffensif
la meilleure défense c’est l’attaque, on est une team offensive
bah ouais, y a pas d’bavardage, quand l’équipage va à l’abordage
j’espère finir tôt, ça n’a pas d’prix d’rentrer la border
une fois qu’ça a bardé, ça y est, on d’vient barjo
y a encore des multimillionaires qui roulent avec les phares jaunes
j’ai un côté visionnaire, un autre qui voit pas loin qu’le bout d’son nez
il dira pas pareil s’il y a quatre cagoulés au bout d’son lit
j’veux plus trembler d’vant l’coût d’son prix dégueulasse, comme un goût d’son_pri
j’suis bercé par la symphonie du guetter quand j’écoute son cri
tu s’rais choqué d’son cran, j’crois qu’dans sa tête, ils sont trente
on doit encore marcher une trotte, mais sans marcher sur une crotte
nan, faut pas manger ma croûte, car j’te pique si tu t’y frottes
peur pour mon espérance de vie, vu comment mon sh_t s’effrite
nan, les femmes sont pas toutes des pûtes, c’est normal, car les pûtes sont pas toutes des femmes
tiens, une punchline, avec les formes
ça m’tient à coeur, pour sortir, faut qu’j’me tienne à carreau
j’cambre la prod’, j’la tiens par les hanches, comme si j’avais un barreau
t’es qu’un couteau à bout rond, kheddam, fais pas l’baron
même une série d’patates, de flingues vaut pas une claque du daron
mais qu’est_ce qu’ils diront si on signe pas et qu’on négocie ?
on sait parler, on tire aussi, et monter un empire aussi
rien qu’ça harcèle sur le 06, et ça veut pas d’la 0.7
j’mets une instru’, j’dis c’que j’ai à dire, en vrai j’ai pas d’recette
“absent”, prison, “dans les mains”, bracelet, j’espère que, pour le prochain, la rue m’aura pas rappelé
[outro]
et dire qu’on voulait l’faire, qu’on s’voyait pas s’refaire
si tu prends cinq mmes_gra, t’as mon cd offert
un pied de biche et des gants, c’était pas ouvert
j’ai mis des survêt’, du sang sur l’bras, quand t’es pas couvert
et dire qu’on voulait l’faire, qu’on s’voyait pas s’refaire
si tu prends cent euros, t’as mon cd offert
un pied de biche et des gants, c’était pas ouvert
j’ai mis des survêt’, tu sens trop l’banc, quand t’es pas couvert
j’te parle d’celui d’la gav, nan pas du banc d’touche
“dans les mains”, ça m’suffisait pas, j’ai r’mis une bonne couche

[exclu _ microbe] 5:19
[intro]
bellek track
eh

[refrain]
j’suis le mec plus ultra, pour s’adresser et faire vibrer les pules_cra
j’te parle pas d’jante, nan, j’te parle de vente
quand j’te dis qu’tu pues l’chrome
que des bactéries, vendues par des microbes
c’est une garderie, au fond d’ma garde_robe
j’suis le mec plus ultra, pour s’adresser et faire vibrer les pules_cra
j’te parle pas d’jante, nan, j’te parle de vente
quand j’te dis qu’tu pues l’chrome
que des bactéries, vendues par des microbes
c’est une garderie, au fond d’ma garde_robe
[couplet 1]
a croire qu’j’suis une nourrice, ça charbonne, faut s’nourrir
les galères, c’est ouvrir, vers là_bas, c’est pourri
j’m’en tape, j’vis pas pour eux
laisse_les faire les gros bras, on sait qu’c’est des peureux
on sait faire des jaloux, on sait faire des heureux
ah, c’est plus la même, maintenant qu’j’suis désiré
dans c’monde de 3agouns, ça vaut cher les idées
donc, j’me tais, comme si j’étais dans leurs tes_tê
deux_trois remontées, parle pas comme si c’tait te_tê dure de quitter
pauvreté en rapidité, stupidité, avoir cette cupidité
j’ai l’bon rôle, j’suis all road comme un vtt
premier album, combien tu l’aurais pété ?
nan, tranquille, faut pas t’inquiéter, on a enquêté, au cas où, tu nous embêtais
wesh, t’arrives en gt, tu r’pars endetté
y a pas que les bécanes qui sont levées en deux temps
n’me calcule pas, c’est mieux qu’faire semblant de m’aider
t’es comme un t_traî, t’as filtré gare de caen

[refrain]
j’suis le mec plus ultra, pour s’adresser et faire vibrer les pules_cra
j’te parle pas d’jante, nan, j’te parle de vente
quand j’te dis qu’tu pues l’chrome
que des bactéries, vendues par des microbes
c’est une garderie, au fond d’ma garde_robe
j’suis le mec plus ultra, pour s’adresser et faire vibrer les pules_cra
j’te parle pas d’jante, nan, j’te parle de vente
quand j’te dis qu’tu pues l’chrome
que des bactéries, vendues par des microbes
c’est une garderie, au fond d’ma garde_robe
[couplet 2]
toujours dans les mêmes endroits, en train d’faire les mêmes choses
quand c’est pour la mif’, c’est une belle cause
une belle dose pour les clients fidèles
sois ganté quand tu voles ou t’auras plus d’aile
plus d’tales, t’es fou, il faut plusieurs lourds
j’me sens comme un gérant qui veut plusieurs fours
mais qui a pas assez d’moyens pour sa part
ça, rien d’neuf, que du bluff
j’fais du jaune, du vert, mais j’vends que du bleu, et c’est pas un effet d’optique
on a commencé ça on était trop p’tits, j’espère que, quand j’arrêterai, j’serai pas trop vieux
y a que des envieux, j’ai même pas d’trophée
y a que des enjeux, ça d’vient grave professionnel
s’en sortir, c’est obsessionnel
depuis l’plus jeune âge, on est conditionnés, depuis l’plus jeune âge, on est auditionnés
additionner, additionner, du coup toute la journée j’ai missionné, [carrisonné?]

[…]

- zkr

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