a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

nekfeu - les freestyle légendaires de كلمات الأغنية

[ 1 extrait]

feu feu feu feu

j’suis sorti du ventre de ma mère pour sortir l’alb-m de l’année les autres vendent de la merde, je l’ai fais sur mon propre label dit moi c’est quoi l’alb-m de l’année ? (feu feu feu feu)

j’suis sorti du ventre de ma mère pour vous faire l’alb-m de l’année les autres vendent de la merde, je l’ai fais sur mon propre label dit moi c’est quoi l’alb-m de l’année ? (feu feu feu feu)

j’suis sorti du ventre de ma mère pour vous faire l’alb-m de l’année les autres vendent de la merde, je l’ai fais sur mon propre label, les gars c’est quoi l’alb-m de l’année ? ( feu feu feu feu)

j’suis sorti du ventre de ma mère pour vous faire l’alb-m de l’année les autres vendent de la merde, je l’ai fais sur mon propre label,wesh c’est quoi l’alb-m de l’année ? ( feu feu feu feu)

comme walter white j’aimais [?], sœur serre moi la main frère claque moi la bise

je ne côtoie que des avions à la carlingue parfaite, j’ai beaucoup plus de goûts que karl lagarfield

le monde de l’art est vantard il te vend du street art mais ne veulent surtout pas voir mes scarla graffer vendal

feu feu feu feu feu feu feu feu feu feu feu feu

tu peux ressentir l’aura dans nos raps, sortez les anoraks ont aura bientôt l’orage selon l’oracle. ma conscience ma dit qui est tu, veux tu vivre dans le vice ou dans la quiétude ? ça dépend ou est le pez [?] mais ma plume peut te clouer le bec de wellbeck

ici on est vite tentés , il vaut mieux que tu vive ta quête, j’ai entendu vide ta caisse, le lendemain les flics enquête feu feu feu feu

j’suis sorti du ventre de ma mère pour vous faire l’alb-m de l’année les autres vendent de la merde, je l’ai fais sur mon propre label les gars c’est quoi l’alb-m de l’année ? (feu feu feu feu)

[2 extrait]

parfois j’ai envie de tout faire péter pour qu’il ne reste rien de ce désordre, ils se battent plus pour restreindre le , mais restreindre ceux des autres

ok ça foire donc c’est pas grave j’pars c’est pour ma poire, j’me fend la poire rien à faire mec [?]

à c’est comme ça que ça ce p-sse mec j’compte pas pour du bois, c’est pour tout mes potes qui prennent du poids, hey

qui vas kicker ça , gagne un peu de temps pour nos prochains, c’est comme ça que ça ce p-sse ceux qui se font crosser j’aime aussi les gros seins haan

[3 extrait]

dans les dédales de paname j’nai pas d’égal je me balade pas loin des halles ou les dalles parlent mal de la femme, et je déballe des tas de phases au départ je n’avais pas de bases mais je taffais les rap sales que je lâche je te laisse pas de drogue

j’aime pas les paper-sses, parlez pas de ça, j’ai le bac mais le choix de ma vie c’est de rapper la night

ouais ça c’est ma life, et j’ai pris des tas de claques, prié tard le soir; grillé par la bac c’est pas marrant

j’ai gratté pas mal de phases de malade, si j’ai traqué ta femme c’est qu’un acte b-n-l et je plane dans le calme, flâne quand je dav-bé , j’ai pas le temps de parler aux femmes à part aux t-sse-pé biiitch, nekfeu est dans les bacs, panama bende dans la place

[4 extrait]

j’me sens hypocrite je plonge dans les tentations volontairement ,ouais un pêché en plus un billet en moins
j’coule doucement la concurrence, tous habillés en noir, on a pas le temps d’attendre ton enterrement

j’pense à ceux qu’on s’est mis à dos, j’vois mon seum s’émietter , c’est mieux de s’aimer que de sortir le semi auto

on est tous responsables en partie du monde que l’on bâti, l’égoïsme et le manque d’empathie tout le monde en pati , tout le peuple repère, de quoi tomber pour recel dans le repère, dans la jungle urbaine sans tenue camouflage pour qu’on me repère, hein

j’ai percé en indé j’suis frais, ce monde est régie par des chiffres et pour comprendre faut déchiffrer

pour pas trop tacheter, tu galère pour t’acheter les nouvelles, en étant berné par les reportages télé, tu vis dans un monde ou l’état que tu pille ou tes pillé ta pigé en regardant un dollar garde un œil sur tes billets

[5 extrait]

je t’ai promis qu’un jour tu te rappellerais de nos têtes, je ne suis pas près de me taire, de la primaire au lycée déprimé, je me sentais prisonnier parce que les professeurs voulaient toujours me noter

pourtant j’aimais les cours, j’étais différent de tout ceux qui me disaient soit tu subit soit tu met les coups, moi je rêvais d’aventure griffonner les devantures, j’attaquais tout ce qui m’étais défendu

rien à péter de toutes leurs émissions télé de vendus, je voulais voir le monde avant d’être rappelé devant dieu

pour ne pas qu’on se moque de moi, je bouquinais en cachette pendant que les gamins de mon âge parlait de voiture

un des gars de l’époque bicravait des armes à l’école, et un beau jour il a ramené une arme à l’école
j’étais choqué de le voir avec un glock,j’en ai rien à foutre de vos putains de codes

j’avais peur je l’ai dit mais j’ai un cœur je le dit mais je suis toujours la pour mes putains de potes

maintenant pour lui le bruit des balles est imprimé dans le crâne ceux qui traînait dans le bac l’ont entraîné vers le bas

faut jamais céder à la pression du groupe, t’façon quand tu fais du mal au fond tu ressens du doute

faut jamais céder à la pression du groupe, t’façon quand tu fais du mal au fond tu ressens du doute, 2zer

[6 extrait]

je suis celui qui ne supporte pas l’idée de taffer on m’a tellement dit “dommage on le déduira de ta paye”

je suis celui qu’arrive avant que tu te mettes à rêver, je suis la scène que tu refais quand tu viens de te faire taper

y’a quelque chose entre paname et moi, mec le fennec est un cavalier noir, à bas les lois, avale mes noix, pardonnez moi si je perd la mémoire

un pilier de bar, depuis le départ l’envie de me battre guide mes pas, un filet de bave, en piteux état, j’espère que cette pét-sse épile le bas

le studio est allemand, italienne sont les banioles, les concerts sont américains, les branlettes sont espagnoles (feu feu, feu feu, feu feu…)

[7 extrait]

ok, han, feu est dans les bacs, feu feu, l’entourage s-crew 1995, hey, ça dit quoi, check

même si t’a tout fais pour les gens à la moindre dispute ils oublieront, déçus de ceux qui rampent, on veux des sous et c’est [t’sous ?] qui rentre, c’est l’zouk, je veux pas d’une zouze exubérante qui zouk, sinon j’devrais couper le souffle aux soupirants

ils me supplieront de les épargner mais j’suis pas économe, “eh connard , laissez parler les vrais bonhommes” tu sais, tant qu’un frère à du coeur j’ai rien à foutre de ses stats, on à p-ssé le stade de se demander qui sais ce tap

on s’estime et les doutes s’estompent, j’suis pas -ssez stable, sista, cesse donc d’envier ces stars

au font du trou , à part le ciel, tu veux que je me tourne vers qui, envie de repartir à zéro comme un converti, le traître négocie les trêves, le journaliste grossi les traits, comme un coquet que connais t’il de la philosophie des gosses illettrés, sais t’il ce qui ce p-sse chaque fois qu’un p’t-t ce fais renvoyer, connais t’il la souffrance de l’enfance de mes pet-tes sœurs en foyer, hein

comme mon h-m-nyme des cicatrices j’en ai (bessef ?) même avec les cordes vocales coupées je serais un mec de parole

j’me retourne dans mon lit en me demandant si je dois les baiser, vu que la nuit porte conseil je me lève avec le barreau

[8 extrait]

avec la tête ailleurs comme mon papa surmené, un plat de pâtes surgelées, un regard en coin une patate sur le nez, nan pas de taff, fuir le néant (fat cap ?) sous les néons , la bac p-sse soulever quand ça ce tape sous le préau

backpack vissé au dos, toujours le même schéma ternaire, toujours la même haine dans les veines, les même débats fermés, toujours les même thèmes les même scènes que l’état permet, ouais des tas de pervers et dans nos verres plus de lait maternel

j’en ai marre d’airer loin des tam tam de la vie, y’a pas de drames ma bite, un tas de femmes me l’astique, mais je ne suis pas heureux, comme beufa j’reste impertinent jt’emmerde

si, nan , j’suis pas un mec qu’il trame mais j’ai un [bertigeant ?], j’suis le vertige, négligeant mes gros cernes et c’est évident, mec jte défie sans me prosterner heiiin , c’est comme ça que ça ce p-sse feu est dans les bacs l’équipe est dans la place heiiin

[9 extrait]

ici survivre est un exploit, faut pas lâcher on m’a dit c’est le travail à la chaîne, moi j’suis pas un esclave

ils sont déjà malheureux les jeunes alors les vieux, on a le relais jeux, ne rejette pas le religieux, nan, j’ai des yeux meilleurs, tout me perturbe, j’ai vu des jeunes voyous perdu devenir des mecs de urge zounet

loin de ces frayeurs, j’recouvre d’une couverture ma deuxième mère, qui dort sur le canapé après une dure journée

un jour elle m’a dit je t’aime et tes yeux scintillèrent, je me sens apaisé par sa voix pendant les 5 prières, pourtant j’suis loin d’être un modèle de vertu, bordel de merde dure, vie moderne faut que je modère la verdure

pendant que le diable, embrouille encore une âme, la mort arrive, muette comme une tombe, bruyante comme une arme

pas encore atteint, le quart de siècle alors laisse moi

[10 extrait]

yeah, han han, s-crew, seinezoo, heyy, suis le label suis le label ça fais yeah yeaaah

avant de commencer ce son j’avais un thème, un truc sombre genre la vendetta dans la tête d’un jeune qui a la vingtaine

puis j’ai fumé un joint de jaune avec un tel ou ptêtre un joint de zeb suivi d’un fond de teille et j’ai zappé sa mère
faudrais que j’arrête cette merde avant de dead

on est seul ce qui fait qu’on est triste, le mauvais œil ça le fait kiffer qu’on se détruise, dit toi que t’a tout pour toi c’est important
quand est ce qu’on vas s’unir, il faut un temps pour tout on forme un couple pourtant

faut qu’on soit formaté dans le système ils disent, ça me fais flipper comme la montée de l’anti sémitisme

on vas en boite , on ce fais chier, alors on fou le zbeul on fini dans les fichiers des colboques, comportement à l’école bof, on ce bute à call-of en buvant des alcool fort

et les filles je ne sais pas ce qu’elle veulent, mais je m’en fiche tant que j’enfile des baskets neuves
mais, dès que j’ai mis la paire, sayais, elle est plus neuve, problème épineux, dans ce shop y’aura ptêtre une mieux
on est continuellement frustés

consommer pour ce consoler, jm’amuse jamais dans les soirées mais je continue de m’incruster
et c’est pas bénéfique

les voisins débarquent avec la ferme attention de dire la ferme attention j’appelle les flics, je compte même plus les moments d’absence
je t’aime, ça compte plus les mots n’ont pas de sens
j’aggripe un skut pendant que mon groupe-uscule graille une crèpe au stud
face à dieu mes [?], scrute le même crépuscule

- nekfeu

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