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martin gal - tuer e.r. كلمات أغنية

[paroles de “tuer e.r.”]

[couplet 1]
ici, personne n’partage le plat, c’est pas thanksgiving
embrouille en bas, personne n’sépare, t’en as quinze qui filment
on veut nappe et couverts en argent, mon père m’a dit : “reste pas immobile”
j’agite le style bille, j’dois m’battre, aimer, j’dois tout faire en marchant
sortie porte de saint_cloud, direction pont de sèvres
j’enfonce cette pédale d’accélérateur, intérieur sent bon le cèdre
hôtel cinq étoiles dans un grand peignoir, sors d’la piscine comme jean_édouard
mon cœur est comme le ballon dans olive & tom, il a des taches blanches et noires
pour percer, ils sont en posture de squats
au quartier, ils veulent pas que j’croque dans leur grec car c’est pas un croc, c’est une morsure de squale
des fois, tout s’assombrit, des fois, tout s’arrange (c’est simple), on m’écoute même dans l’poitou_charentes
c’est de l’art que j’fais, grosse frappe depuis l’arc de cercle, touche le poteau puis ça rentre (de l’art)
bandes de décérébrés où il fait pas bon vivre
j’arrive seul au restau’ mais ils sont trois dans ma tête, donc je réserve pour quatre convives
ils s’mettent à genoux pour un carton vip, ils m’ont sous_estimé
j’exige le pardon vite, j’garde tout pour moi, ma mémoire est pleine, mes cartes mémoires sont vides
arrivée soudaine comme un départ de feu
à vegas, ma tour de jetons atteint l’plafond de la salle de jeux
quand j’vais là_bas, c’est pas pour l’grand canyon ou prendre en photo les longues bagnoles
j’aime me mettre en danger, genre approcher l’p’tits qui sont devant la lionne
j’me regarde dans la glace comme vincent cassel, ouais, c’est pas du bluff
j’habite à deux pas du fleuve, mes fringues sentent la seine
ils mordent à l’hameçon comme des poissons, ça, c’est fait
j’balance un son, j’attends qu’le poison fasse effet
[refrain]
j’regarde les gouttes de pluie faire la course sur la vitre
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre
j’regarde les gouttes de pluie faire la course sur la vitre
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre

[couplet 2]
que personne ne bouge quand j’riposte
on déboule en jeep, devant l’four, ils vendent la farine comme des boulangeries paul
plus d’animaux que dans jumanji, météorite en approche
j’vois la liasse dans ta poche, il est moulant, l’jean
v’là les moutons, j’avais pas vu l’élevage
fais pas chier avec ton lait d’avoine, mon grand_père a vécu plus d’quatre_vingt_dix ans en buvant tous les jours du lait d’vache
mon son traverse la france sans tgv ni ter
“omar m’a tuer” : j’aurais cond_mné l’mec, pas pour l’assassinat, pour avoir écrit “tuer” “_e.r.”

[refrain]
j’regarde les gouttes de pluie faire la course sur la vitre
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre
j’regarde les gouttes de pluie faire la course sur la vitre
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre
j’regarde les gouttes de pluie faire la course sur la vitre
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre
j’regarde les gouttes de pluie faire la course sur la vitre
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre
[outro]
les perdants disent toujours que c’est la faute de l’arbitre

- martin gal

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