cenza - le manuscrit كلمات الأغنية
j’aperçois le vice me tendre la main, la main du pêché, la bite qu’ils nous tendent et que tout le monde a voulu lécher !
je ne sais pas si dieu pardonnera leurs incantations, la destruction d’un temple dans la fente du mur des lamentations !
nos lois sont écrites dans leur grimoire, je sais plus qui croire, ils me parlent de pape et de magie noire !
alors je suis réticent je les aie flairé d’ici je prie plus mais j’irai au paradis car l’enfer est ici !
le mariage h0m-s-xuel se b-n-lise, le masque cache le visage de la pédophilie qui me paralyse, me glace le sang, la folie arrive sans prévenir comme une rage de dent, leur soupe est empoisonnée alors je crache dedans !
aucune main ne brisera les liens… mais l’humain veut changer le juif en israélien ! drapeaux couronnés, envahisseurs, nouveau-né doit le respect à celui qui lui a tout donné !
ils ont perverti l’innocence d’un enfant, au fond personne t’écoutera crier même si ça s’entend !
plus aucune attention, détention, prost-tution, tourisme s-xuelle en expansion !
france : fils de franc maçon, cousin du ku-klux-klan où certains baignent dans le haram et se prétendent musulman !
notre cas est déjà critique, ça ne pourra aller mieux, pet-te ne suce pas une bite après avoir parlé de dieu !
les noirs veulent blanchir, et les blancs veulent bronzer, seul l’œil reflète la lumière, il n’y a ni clair ni foncé !
je ne porte aucun jugement, j’observe et relate la vérité, dieu nous a donné la vie, mais qui l’a réellement méritée ?
le sourire des miséreux face aux hommes de ruse, c’est toujours ceux qui ont le moins, qui donnent le plus !
vois-tu ceux qui crèvent de faim en afrique, asie europe de l’est, amérique du sud , en p-ssant par l’antarctique ?
famine, maladie.. le monde part en miettes de pain, consomme tranquillement, ce monde sera encore en guerre demain !
des ministres dénudés, téléréalités sionistes, peut-on ouvrir les yeux pour regarder le bout de son nez ?
peut-on nourrir les cieux pour r-t-rder le jour de son heure ?
ils ont tué l’amour pour nous montrer le goût de son cœur !
une goutte de sueur dans une mer de néant, mécréant, la course au pétrole noircit nos océans !
tu paies pour c’que l’pays t’dois d’puis bien avant ! mais sans la dette monétaire, les banques ne feraient pas d’argent ! scolarité obligatoire jusqu’à 16 ans, esprits formatés, discrimination d’un corps raté ! peuples affamés à l’aube d’une éruption, la terre ne tourne pas autour du soleil mais de la corruption !
consommation, importation, mondialisation, mon ami voici le reflet d’une civilisation !
bienvenu sur terre où nos mondes s’entrecroisent où les fuites sentent le gaz, où les plaies s’ouvrent quand plante le schl-ss !
ils vendent leur place avec tant d’audace, ils créent des maladies puis s’étonnent quand s’étend le das !
tellement de cr-sses à essuyer tu voudrais laver ton âme, puis ton arme avant d’appuyer !
c’est la révolte qui fera de nous des hommes mais l’ennemi est invisible alors on se tue entre nous pour des sommes !
comment vivre simplement ? maintenant que le mirage du pouvoir et de l’argent avance lentement ! guerre du nucléaire aux avancements technologiques, guerre biologique, guerre du business écologique !
forêts rasées, même l’été devient de plus en plus l’hiver le gouvernement dépense des milliards pour explorer l’univers !
des gosses marchent dans des décharges pieds-nus, des femmes sont brûlées à l’acide, des bombes tombent, je tombe des nus !
les g-ys font appel à des mères porteuses pour acheter leurs enfants en inde, insémination, étrangement enceinte !rapatriement pour une origine ou une couleur, clandestinité, drogue, prost-tution sur mineur !
réseaux pédophiles, traffic d’humains d’enfants, de bébés, d’ovules, de sperme hein !
multinationales, intoxication alimentaire, ogm glucose, barquette en plastique de cancer !
politiciens véreux à partouze contrat-m-sse carrefour, sauvons le peuple avec du coca-cola au darfour !
t’as toujours aussi faim quand t’appuies sur la télécommande, accélérons la destruction parce que je crois qu’elle est trop lente !
le diable médiatique ne lâche pas quand il nous tient mais l’histoire à ben laden est un film hollywoodien !
celui qui a compris la vie, ne parle pas parmi les cris l’ami, obama ? c’est comme mickey mouse me demande pas qui l’a mis !
les paroles qui les tiendra, d’mande à ton daron, des bidonvilles à la cité, il n’y a qu’un pas ! te plains pas, connard ! pourtant c’est chau-dar, la télévision est payante même pour les mecs au schtar ! taffer, exploiter jusqu’à craquer, claquer, pourtant j’ai le sourire quand je les vois m’arnaquer !
dehors c’est la merde alors reste chez toi tu seras mieux, regarde par la fenêtre de la télé et tu te sentiras vieux !
à quoi bon les écouter, je suis dégoûté, si j’étais connu comme coluche, ils m’auraient découpé !
je perds goût à la vie, elle est devenue acidulée, j’ai mal au mental, je crois qu’il a trop été manipulé !
y en a pas un pour rattraper l’autre, chacun veut son pain, donne le tien si tu veux être des nôtres !
cigarettes à la mode dans tous les films des années 80, il a fallu voir le sang pour pouvoir boire le vin !
je pars de rien, j’observe le monde en toute indiscrétion le peuple a besoin d’être dirigé, peu importe la direction !
satan a pris les devants, adam et eve sont séparés, égarés, il paraît qu’un cœur c-ssé ne peut être réparé !
produits à nausées dans les nasaux, déjà debout à peine -ssis, hardcore comme un judéo-n-z- !
perdu comme un hongrois en russie, du rideau de fer à hiroshima, hanté je laisse rentrer aucun héros chez moi !
les français mal vus dans leur propre pays fausse image fasciste !
à croire qu’il n’y a que les blancs qui sont racistes !
c’est pas une question d’origine mais de vie sur les p’t-ts, demande à jean-marie qui sont ses ennemis !
leurs putes de députés veulent nous éduquer, on est tous raciste de quelqu’un.. ça s’appelle le préjugé !
tous ces rappeurs sans rapports qui veulent faire croire que l’alcool c’est meilleur que le porc !
on s’habille avec de la marque pour se sentir riche, escroqueries du tribunal de paris aux grandes instances de bobigny !
ton âme paiera même après qu’on t’enterre “tous égaux à la naissance”, va dire ça à mon compte bancaire !
c’est la débâcle l’état tire les lois par les nattes, je sais pas si je vais à un jugement ou à une pièce de théâtre !
où est la vraie vie ? demain tu tombes pour défaut de permis, ils enferment nos corps quand ils ne peuvent enfermer nos esprits !
films, séries, dessins animés, même depuis que la lumière de l’imprimerie peut s’exprimer !
tu peux aller te faire enculer par un chien, t’as la mémoire courte, tu mériterais une flèche d’indien !
le rêve américain porte bien son nom, mon con… l’histoire porte à croire que ces liens sont bons !
ce monde est souillé, comment peut-on rester sous la pluie sans se faire mouiller ?
je vais pas excuser l’irrégularité de mon inspi, c’est comme la vie il y a des hauts il y a des bas ça revient et ça suit !
je n’ai même pas suffisamment d’encre dans mon stylo pour vous prévenir t’façon crois pas que je me porte tant d’importance !
je vois le décor s’effriter à pet-t feu depuis que je suis pet-t vieux, ce monde vieillit de plus en plus hideux ! à vouloir se prendre pour dieu on finit par se brûler, tu ferais mieux de prier car seul le diable t’entendras hurler !
sais-tu que celui fait de chair et de sang contrôle les éléments ?
sous la main du malin toujours aussi élégant !
reste dans ta bulle ou perce la à jamais.. acharné ! le vice m’a charmé à jamais ! 500 milliards de dollars de pubs dépensés chaque année, hmm ! la faim dans monde ne la calmez ! alors je gratte ce bout de papier, p-sse du récit au m-n-scrit, comme je l’ai dit leur -n-s brille -ssis sur leur industrie !
écoute car ce que tu vois n’est que fiction, véridiques sont mes dictions, la fin des temps n’est plus une prédiction !
je vois plus l’horizon, on se développe comme un virus leur papyrus dégagent une odeur de mort dans nos sinus ! comment pourrait-t-on croire que les dirigeants de ce monde veulent notre bien ?
on est des esclaves, des piles humaines, des os de chien !
vendu c’est pas la peste mais bien l’homme qui s’est répandu, après un texte pareil je finirai pendu !
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